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2020
- Novembre (1)
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Bernard Maury, LIEN né le 28 décembre 1943 à Marmande et mort le 31 juillet 2005 à Caen, est un pianiste, pédagogue et arrangeur français. Spécialisé dans l'harmonie jazz et ami du pianiste américain Bill Evans, il a formé nombre de pianistes français aujourd'hui réputés. Il est le cofondateur de la
Bill Evans Piano Academy.
Hal Singer et lien lien
François Laizeau, 1980 septembre Lauzerte
Claude Barthelemy : "Un baroudeur rugueux, venu du rock dur, un compositeur raffiné et savant, un dévoreur d’espaces musicaux sans limites à qui seront confiées par deux fois les rênes de l’Orchestre National de Jazz, et à qui d’illustres ensembles de musiques contemporaine, baroque, jazz, vocale, passeront commande. Quel parcours ! La douce mélopée du oud, où les riffs rageurs de sa guitare électrique nous raconteront tout ça, picorés d'humour, saturés d’énergie vitale." LIEN
Claude Barthelemy à Lauzerte.Photo:A.Soulies 1980
Dans ce lieu à Lauzerte, désert sans ame et sans remords à l'époque, de juillet 1980 à l'automne 1981 j'ai organisé mes premiers concerts...et rencontré mon premier fantome ! Quelques passants entre autres sur scene: Raymond Boni, Yoshko Seffer, Faton Cahen, François Laizeau (que "l'intellectuel" du coin dans sa "Depeche" avait orthographié "Le Zeau" en deux mots et avec majuscule pour bien marquer sa différence de cul-terreux "civilisé"...) Claude Barthelemy, François Fichu, Dominique Perichon, Tonton Salut, André Soulies, Christian Diomandé, Gérard Marais etc. Lien
« se raconter dans un monde qui nous ratatine »
Figurants sur le tournage du film tiré du roman éponyme "Jacquou le Croquant" d’Eugène Le Roy publié en 1899, et inspirée de faits réels s’étant déroulés lors des jacqueries dans le sud-ouest de la France au début du XIXe siècle, l’histoire se passe vers 1815 dans le Périgord sur les communes de Fanlac et Rouffignac-Saint-Cernin. Photo: "Jacquou le Croquant",
"Je m'achèterai des souliers vernis,. Je chanterai un psaume la nuit,. J'aurai aussi un chien à moi,. Vaille que vaille, on s'en sortira."
Je suis dur
Je suis tendre
Et j'ai perdu mon temps
A rêver sans dormir
A dormir en marchant
Partout où j'ai passé
J'ai trouvé mon absence
Je ne suis nulle part
Excepté le néant
Mais je porte caché au plus haut des entrailles
A la place ou la foudre a frappé trop souvent
Un coeur ou chaque mot a laissé son entaille
Et d'où ma vie s'égoutte au moindre mouvement
Pierre Reverdy
"Plutôt que de percevoir la Terre comme une magnifique oasis, prometteuse de tout ce qui peut réjouir le corps, le cœur, l’esprit, nous l’avons ravalée à un gisement de ressources à épuiser jusqu’au dernier arbre, au dernier poisson."
"Il n'y a pas d'espoir mais « il n'est pas de destin qui ne se surmonte par le mépris ». lien
Willy, natif de la pointe courte, octobre 2020. lien
France Soulies et Richie Havens, lien
Chris Dréja, André Soulies, John Mayall et Jim Mc Carty
Césarius Alvim
Hilton Ruiz West side blues Lien 4
lien Le cinéma le Trianon à Romainville servit de décor pendant près de 20 ans à l’émission la « Dernière séance » animée par Eddy Mitchell lien
Fils de prolo à la Faculté de Droit Assas, "boite à Benco" des chiards Neuilléens."Univers le plus inique, le plus sinistre qui soit – (...) elle laisse l’ « être » battre d’une seule aile. Parce que l’ « être » est déstabilisé par la diminution qu’il porte en soi et qu’il affecte lui-même de considérer comme telle," lien
"L’éclipse du principe maléfique, de la «part maudite», du «négatif», est la grande énigme du temps. Que se passe-t-il sous cette couche de laque, sous ces glacis de pureté, de litotes sucrées, sous ce glaçage d’innocence au sirop?" P.Muray
Je fus partie prenante de l'Oci/Ajs trois années durant... Lorsque j'ai claqué la porte de cette maison de fous, il me fut répondu: "-De chez nous l'on ne s'en va pas, on est exclu !" Grand fou rire libérateur ahahahah !!!
Nicos Poulantzas et Boris Fraenkel, deux de mes profs en fac...
Claude Camilli. qui m'a recruté au ministere de la justice et avec lequel j'ai travaillé à Mantes la jolie comme éducateur dans l'équipe pluridisciplinaire du centre d'orientation et d'action éducative (COAE) qu'il dirigeait à l'époque.Lien Lien lien
Rue Daniel à Asnieres, premiers pas: "S’il garde quelque lucidité, il ne peut que se retourner alors vers son enfance qui, pour massacrée qu’elle ait été par le soin des dresseurs, ne lui en semble pas moins pleine de charmes. Là, l’absence de toute rigueur connue lui laisse la perspective de plusieurs vies menées à la fois; il s’enracine dans cette illusion; il ne veut plus connaître que la facilité momentanée, extrême, de toutes choses. "
Quai de Seine à Asnieres vu du Pont de Clichy avant la grande destruction de 1975 grrrr !
Van Gogh La Seine au pont de Clichy
Parc du chateau Asnieres, le parc de mon enfance...
Quartier des Gresillons à Asnieres
le pont de Clichy des gentrificateurs
« Notre ancien homme aux écus prend les devants et, en qualité de capitaliste, marche le premier ; le possesseur de la force de travail le suit par-derrière comme son travailleur à lui ; celui-là le regard narquois, l’air important et affairé ; celui-ci, timide, hésitant, rétif, comme quelqu’un qui a porté sa propre peau au marché, et ne peut s’attendre qu’à une seule chose : à être tanné » (Marx, 1863, 1, 179)
lien
Joel Daydé, André Soulies et Mick Taylor
LA RETRAITE, QUOI LA RETRAITE ?
"Au lieu que le progrès va de lui- même où l’entraîne la masse des expériences accumulées. Il suffit donc de ne lui opposer d’autre résistance que celle de son propre poids. C’est le genre de collaboration du chien crevé avec le fleuve qu’il descend au fil de l’eau.
Lorsque après un dernier inventaire l’ancien maître verrier calculait le chiffre exact des bénéfices, il devait bien avoir tout de même une pensée pour le moderne collaborateur qui achevait de cracher ses poumons dans la cendre du foyer, entre le chat galeux qui somnole et le berceau où hurle un avorton à tête de vieillard. L’auteur de Standards rappelle le mot célèbre du patron américain au journaliste qui vient de visiter l’usine et trinque avec son hôte avant de reprendre le train. Tout à coup le journaliste se frappe le front : « À quoi diable employez-vous les vieux ouvriers ? demande-t-il.
Aucun de ceux que j’ai vus ne paraît avoir dépassé la cinquantaine... » L’autre hésite un moment, vide son verre :
« Prenez un cigare, dit-il, et, tout en fumant, nous irons faire un tour au cimetière.» Bernanos
https://ebooks-bnr.com/.../bernanos_les_grands_cimetieres...
Salif Keita et Carlos Santana photo: André Soulies.
Salif Keita et Etienne Mbappé Pittsburgh/photo: A.Soulies
33 bd de la liberation Vincennes
"Saluons le soleil Les murs sont au courant Il n'y a plus rien à dire Tout est mort Tout se vend" Pierre Reverdy
lien
Paris
25 avenue de St Ouen Paris (La Fourche)
http://raycharleseurope.chez.com/
Damian Ross (tour-manager) et Al Jackson (chef d'orchestre) de Ray Charles.
à
à prendre au second degré ahah !
"Peintes en 1907, Les Demoiselles d’Avignon ont marqué une révolution dans l’histoire de l’art. Quel sens donner à cette oeuvre longtemps mal aimée ? «Je ne puis m’empêcher de voir dans Les Demoiselles d’Avignon l’événement capital du début du XXe siècle. Voilà le tableau qu’on promènerait, comme autrefois la Vierge de Cimabue, à travers les rues de notre capitale, si le scepticisme ne l’emportait sur les grandes vertus particulières par lesquelles notre temps accepte d’être, malgré tout », lit un jour de décembre 1924 le couturier Jacques Doucet dans une lettre qu’il vient de recevoir. Il y est uniquement question d’un grand tableau de Picasso qui n’a jamais trouvé d’acquéreur, peu apprécié et exposé une seule fois depuis son achèvement dix-sept ans plus tôt, en juillet 1907. Cette lettre est l’une des plus belles déclarations d’amour que l’on ait faite à une peinture, un amour fou où se rencontrent pourtant la dévotion et la raison. Elle est signée d’André Breton" Lien
LA QUATRIEME POMME: Charles Fourier racontait qu'il eut l'idée de son système économique dans un restaurant parisien où il paya une pomme quatorze sous. A la campagne les pommes valaient alors quatorze sous le cent.
"Je fus frappé, dit-il, de cette différence de prix entre pays de même température, que je commence à soupçonner un désordre fondamental dans le mécanisme industriel, et de là naquirent les recherches qui me conduisirent à ma découverte."
"J'ai remarqué depuis ce temps qu'on pouvait compter quatre pommes célèbres. Deux par les désastres qu'elles ont causés, celle qu'Eve offrit à Adam et celle que Pâris offrit à Vénus, et deux par les services rendus à la science : celle de Newton et la mienne. Ce quadrille de pommes célèbres ne mérite-t-il pas une page dans l'histoire ?" La 4eme pomme. Lien 1 - Lien 2
Terrass
lien 1ere tournée en France
« Ça a débuté comme ça. Moi, j’avais jamais rien dit. Rien. C’est Arthur Ganate qui m’a fait parler. Arthur, un étudiant, un carabin lui aussi, un camarade. On se rencontre donc place Clichy. C’était après le déjeuner. Il veut me parler. Je l’écoute. » lien
André Soulies, John Thomas et Marc Albert Levin
Eric Tocanne
Eric Tocanne qui fonda avec moi l'association Musique jazz action. LIEN
"..l'usure de nos sentiments, le refroidissement de notre ferveur. La présence en nous d'une plus grande quantité de la sottise du monde (nous en absorbons un peu plus chaque année sans doute ) et l'acquisition de ce fonds d'indifférence, qui n'est qu'un fonds d'imbécillité ...» Larbaud
Photo de la place Clichy par Emile Zola
Chez Papagros, resto à Montpellier, chez mon poteau Rab Chel. Rafraichissant !!!
Ma cave à pinard durant mon année Setoise. Face au marché aux puces.
hommage à Brassens quartier de la révolution à Sete, à deux pas de sa maison natale.
Les canaux de Sete et l'etang de Thau.
Helene Dee et Eddy Gomez Eddy Gomez
Michel, Babik, Christian et Stéphane.
le pouvoir "partage" des idées qu'il combat toujours à mort dans la realité...
Nos résidences à Londres: Bedford place et Swiss Cottage.
Into Animals
Une petite affaire doublée de vison...
Moissac, 1942 : le miracle oublié
LIEN:
Nina Hagen
Nina Hagen tournée française 2015 Lien1 LIEN 2
Pete Pritchard, Scotty Moore et Eric Clapton
Richard Newman, France Soulies et Pete Pritchard.
Alvin et Evi Photo: André Soulies
Alvin Lee et l'ami Guy Muchert
alvin Lee et etienne Soulies stuttgart
Mon été 70 LIEN
Etienne Soulies et Mick Taylor, duo autoroutier.
http://www.dragonjazz.com/grablue/blues_taylor.htm
Denny Newman and Jeff Allen on tour with Mick Taylor.
Toujours un super accueil à Tours, Joué les Tours ou à Avoine. Merci à toi Thierry Guignard, ici avec Mick Taylor et le maire de Joué les Tours. Mick, médaille d'honneur de la ville de Joué ahah !
Marseille 2010 avec John Mayall et les Yardbirds
eL'ami Jimmy Walter et Boris Vian
Paulhiac, lieu-dit Soulies
Marc Albert Lévinl'un de ceux, peu nombreux, qui me mirent le pied à l'étrier au moment opportun. Un grand merci !Lien
Marc Albert-Levin : "Je me sers de colle à papier mais surtout de photos et de cartes postales que je n’arrive pas à jeter. Le collage est une autre forme d'écriture, une autre façon de fixer les souvenirs. Aragon (qui avait des collages plein les murs de sa maison) disait déjà que tout texte qui en cite un autre est un collage. Et comme l’écriture, le collage est un médicament contre l’amnésie, une reconquête de sa propre mémoire."
Jo Penso
Hommage à un ami, sobre et bienveillant, toujours là aux croisements ou tu erres et tu te demandes comment ? Au courant de tout (certains pourris respirent... j'en connais !) Adieu...
Elio Dogliani fut à une époque mon assistant. Ici en compagnie de Xavier Vargas
Avec Rachid et Alexandre, les deux fils de Michel Pétrucciani.
LIEN 1 "Petite sociologie des banlieues chics : à l'époque, les jeunes bourgeois de la banlieue ouest de Paris se ruaient au Discobole, gare Saint-Lazare. Dans les cabines d'écoute, se trémoussant à contretemps sur l'aimable comptine des Beatles, ils étaient convaincus de vivre la pire transgression de leur vie. Ils liraient Papillon plutôt que Genet, raffolaient d'Un homme et une femme (sans rien dire des Dimanches de Ville-d'Avray,qui fut leur cantique spirituel) et rêvaient de chevaux éventrés.
Sérieusement, toutes ces années marquées par La Chinoise, de Godard, ou l'apparition fulgurante d'Ornette et d'Albert Ayler en Europe (1965-1967), la vraie vie était ailleurs : là-bas, Marion Brown, Bill Dixon, Coltrane, Archie Shepp et Albert Ayler, Sonny Rollins, plus Miles Davis, le sorcier, voilà de quoi on se saoulait sous les mêmes casques du même Discobole, dans la même gare Saint-Lazare. Le reste n'est que guimauve.
Preuve irréfutable, ce sont les Beatles qui ont gagné : l'essence et l'existence du goût petit-bourgeois. Réécouter ce soir Daniel Caux et son fabuleux coffret Albert Ayler. Savourer Carnet de doute du très vivant Raoul Sangla, qui sut filmer Francis Marmande
"Telle colonie d’imbéciles solidement fixée à son terroir natal, ainsi qu’un banc de moules au rocher, peut passer pour inoffensive et même fournir à l’État, à l’industrie un matériel précieux. L’imbécile est d’abord un être d’habitude et de parti pris." Bernanos
Andre Soulies et Dick Annegarn chez Patrick Tandin LIEN 1 lien2
André Soulies et John Mayall 2010
Gary Moore, Hank Van Sickle, Buddy Whittington LIEN 1
Salif Keita
Salif Keita et Carlos Santana, concert à San Rafael (San Francisco) en juin 1990. Photo: André Soulies.
Kélétigui Diabaté, Salif Keita, André Soulies et
Wagner Tiso
Lien 1 Lien 2 Kélétigui Diabaté
Carlos Santana, Kélétigui Diabaté et Salif Keita photo: Andre Soulies
Assez juste résumé par Yves Bigot sur Libération de ma stratégie de management pour Salif Keita à l'époque, dans un article édité à l'occasion de la mort de Miles Davis.
Salif Keita et Andre soulies San Francisco 1990
Mick Taylor à Neil Cote Photo: André Soulies 2009 Interview
Carlos Santana au New George à San Rafael (San Francisco) apres le concert avec Salif Keita dont je fus le producteur. Photo: André Soulies
Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure."... mais dans ma tour d'ivoire, «Vous me semblez tous horriblement riches» Henri James
Moi, dit le Petit-Prince, si j’avais une heure devant moi, je marcherais lentement jusqu’à la fontaine…
I’ll play it first and tell you what it is later. Miles Davis
Le reve en 1997: nous allions desormais vivre notre vie "en vacances"...
«La vie de la plupart des hommes est un chemin mort qui ne mène à rien. Mais d'autres savent, dès l'enfance, qu'ils vont vers une mer inconnue. Déjà l'amertume du vent les étonne, déjà le goût du sel est sur leurs lèvres jusqu'à ce que, la dernière dune franchie, cette passion infinie les soufflette de sable et d'écume. Il leur reste de s'y abîmer ou de revenir sur leurs pas.»
lien bureau Biscarrosse
« Puisqu'il faut bien tout de même ne pas vous peindre uniquement l'avenir en rose, sachez que ce qui monte, qu'on n'a pas encore vu jusqu'à ses dernières conséquences, et qui, lui, s'enracine dans le corps, dans la fraternité du corps, c’est le racisme. Vous n'avez pas fini d'en entendre parler» Lacan
Adieu Caer et Biscarosse Poignards que vous avez d'éclat (...) Musiques s'il n'est pas trop tard Parfumez le vent parfumé Sanglotez les cent noms aimés Que j'écoute au loin vos guitares Aragon
" Tout est près. Les pires conditions matérielles sont excellentes. Les bois sont blancs ou noirs. On ne dormira jamais." André Breton
L'époque et son esprit: tout – le bon, le juste, le beau – « part en fumée et se dissout dans l’air ». lien
(san francisco) photo André Soulies Salif Keita
Un seul sur une ile déserte c'est celui-là...LIEN
"merde ! enculagailler la moumouche, frénétiser l'Insignifiance, babiller ténu dans la pompe, plastroniser, cocoriquer dans les micros... Révéler mes "disques favoris"...mes projets de conférences...Je pourrais, je pourrais bien devenir aussi moi, un styliste véritable, un académique "pertinent". C'est une affaire de travail, une application de mois...peut-être d'années... On arrive à tout... comme dit le proverbe espagnol : "Beaucoup de vaseline, encore plus de patience, Eléphant encugule fourmi." Céline
Zagdanski
lien
« Faire d'un événement, si petit soit-il, la chose la plus délicate du monde, le contraire de faire un drame, ou de faire une histoire. »
Lien
Flore, Café Van Gogh place du Forum Arles.
Etienne Soulies, Joel Daydé et Mick Taylor, place du Forum Arles.
J'ai connu le lieu et son patron lorsque ça s'appelait Le Mayall, au cours d'un séjour ou je résidai dans un hotel de la place Lamartine. C'etait en effet un fan de la musique de Mayall ! J'ai pris la photo ci-dessus en passant par là, dans les années 2000. Triste ville par certains cotés, malgré sa beauté exceptionnelle, qui ne possede pas meme un tableau de Vincent Van Gogh qui participe au moins pour moitié de son rayonnement mondial ! Et ou donc se trouvent les tableaux qu'elle aurait du posseder? Je crois que je tiens une reponse: "Mai 1890, Van Gogh quitte l’asile de Saint-Paul-de-Mausole où il a séjourné plus d’un an. Frédéric Pajak raconte : « Il a laissé de nombreuses toiles au Dr Peyron [...] qui laissera son fils en faire des cibles pour s’exercer à la carabine. Un photographe de la région, peintre à ses heures, en récupérera quelques-unes ; à l’aide d’un grattoir, il effacera la peinture et utilisera la toile pour lui . » De l’estime des choses...Frederic Lordon
Alfredo Rodriguez et Miké Charropin avec Etienne chez moi à Vincennes en 1993-Fete de fin de tournée.
Alfredo Rodriguez (photo André Soulies)
LIEN site: Larry et Jane Bunnett avec Etienne à Vincennes en 1993-Fete de fin de tournée.LIEN
lien "Vos enfants ne sont pas vos enfants. Ils sont les fils et les filles de l'appel de la Vie à elle-même. Ils viennent à travers vous mais non de vous. Et bien qu'ils soient avec vous, ils ne vous appartiennent pas. Vous pouvez leur donner votre amour mais non point vos pensées, car ils ont leurs propres pensées.Vous pouvez accueillir leurs corps mais pas leurs âmes, car leurs âmes habitent la maison de demain, que vous ne pouvez visiter, pas même dans vos rêves." Khalil Gibran
Natalia Soulies, à la caisse des concerts de Black-Voices au festival d'Avignon 2006
Léo Ferré, Les Zoo et Pierre Fanen à la guitare...ZOO
lien
Semblable au pauvre Orphée, le nouvel Adam libéral est condamné à gravir le sentier escarpé du «Progrès» sans jamais pouvoir s’autoriser le moindre regard en arrière. Voudrait-il enfreindre ce tabou – «c’était mieux avant» – qu’il se verrait automatiquement relégué au rang de beauf, d’extrémiste, de réactionnaire, tant les valeurs des gens ordinaires sont condamnées à n’être plus que l’expression d’un impardonnable «populisme». C’est que gauche et droite ont rallié le mythe originel de la pensée capitaliste : cette anthropologie noire qui fait de l’homme un égoïste par nature. La première tient tout jugement moral pour une discrimination potentielle, la seconde pour l’expression d’une préférence strictement privée. Fort de cette impossible limite, le capitalisme prospère, faisant spectacle des critiques censées le remettre en cause. Comment s’est opérée cette double césure morale et politique ? Comment la gauche a-t-elle abandonné l’ambition d’une société décente qui était celle des premiers socialistes ? En un mot, comment le loup libéral est-il entré dans la bergerie socialiste ? Michéa lien
photo: A.Soulies Avec Jim Mc Carty et Chris Dréja, Nantes
Mélissa et Flore, Festival d'Avignon 2006
Salif Keita, Natalia Soulies et Solo
18 juin 1990 -Iere rencontre avec Joe Zawinul au "Music Machine" de Santa Monica lors d'un concert de notre tournée americaine ou je lui presente Salif Keita en vue de la la production executive de l'album "Amen". Je lui avais ecrit ainsi qu'à Quincy Jones pour cette production et Joe fut le premier à répondre. Deuxieme rencontre,quelques mois plus tard chez moi à Vincennes ou nous cherchames ensemble l'argument décisif capable de convaincre Miles Davis de venir jouer sur le disque de Salif...Je lui racontai que Salif dejeunait tous les jeudis à midi avec le type chargé par le gouvernement malien de le surveiller: "Ca ça va plaire à Miles' s'écria-t-il enthousiaste ! Denzel Washington etait present à ce concert du Music Machine et vint saluer Salif dans sa loge. Je ne suis pas sur qu'à l'époque Salif ait bien su qui il etait ? Lien
Salif Keita et Andre Soulies San Francisco 1990
Je n'attends pour ma part aucun remerciement ni reconnaissance de Salif pour lui avoir présenté Joe Zawinul, lui avoir expliqué qui il etait, de lui avoir parlé de l'importance du monde du jazz en particulier américain pour sa carriere, d'avoir insisté pour le conduire chez Carlos Santana à San Francisco et d'avoir defini à partir de l'album Amen, une stratégie coherente de developpement de carriere, avec notamment la presence en guest star de Carlos Santana dans le groupe de Salif Keita dans une premiere tournée europeenne que j'ai finalement du annuler en accord avec le management de Santana. J'ai rompu avec Salif pour deux raisons essentielles:
1/ la minoration absolue sur l'album Amen de la participation de Carlos santana sous le pretexte dument formulé par Salif: -"C'est un disque de Salif Keita et non de Carlos Santana. Mes fans africains ne comprendraient pas une presence significative sur l'album de la guitare de Carlos". Incomprehensible, vu la participation extraordinaire de Carlos à cet enregistrement (dixit Cheik).
2/ L'annulation par Salif de concerts en Europe pour des raisons que je n'évoquerai pas ici mais qui justifiaient de ma part une immédiate séparation... Je garde néanmoins tout mon respect au grand artiste qu'est Salif mais je n'oublie pas que j'ai passé beaucoup de temps dans ce management à chasser autour de lui les "mouches à merde"... C'est le lot des grands artistes d'etre entourés de toutes sortes de parasites. André Soulies
Assez juste résumé par Yves Bigot sur Libération de ma stratégie de management pour Salif Keita à l'époque, dans un article édité à l'occasion de la mort de Miles Davis.
Il y a dans cette pub parue dans jazz-hot une erreur de notre part quant à l'annonce de la tournée Salif Keita-Carlos Santana. Carlos venait seul dans le groupe de Salif en guest star et non avec son groupe.
lien
Le square Constantin Pecqueur ci-dessous, rebaptisé depuis malheureusement !
En tournée avec Kassé Mady
Sona Jobarteh: "Today we lost a giant pillar of our tradition, we lost a maestro, we lost a beautiful soul who blessed this world with sublime musicality and a golden voice. You have been a huge inspiration to me and I am so blessed to have been able to work with you, and to learn from you. We will truly miss you. Let us join together to bless the journey of our dear friend back to our Creator, and let his legend live on in all of us. Rest In Peace Jali Mansa KASSE MADY DIABATÉ
Etienne avec Kassé Mady Diabaté chez ma mere à Moissac.
Avec Kassé Mady Diabaté Team Tokyo airport.
Lassana Kouyaté
En tournée en Pologne avec Baden-Powell
Baden-Powell de Aquino
« le besoin d’imposer à ses semblables les lois de son ego »
André soulies et Patrick Frémeaux: Ce que j'ai à dire de ce mec, Fremeaux, Magritte ci-dessous le résume tres bien
En 5 ans d'association, je ne pense pas que cet escroc ait oublié de me voler un seul jour ahahahah ! Un soi-disant conservateur du "patrimoine" qui me confiait (entre autres...) en son temps: "Je prefere travailler avec un artiste mort car je sais que lui au moins ne viendra pas me casser les couilles" ! J'entrerai plus tard dans les détails de cette période ici ou dans une publication séparée...
Il est bien connu que l’or, dont le Diable fait cadeau à ses adorateurs, se change en excréments après son départ. Freud
«le chemin qui mène à la fontaine rafraîchit autant que l'eau qu'on y boit».
lien Ma fille Natalia, naissance à la maternité des Lilas. Leboyer
Le docteur Strouk, "l'accoucheur" de mes 2 enfants Natalia et Etienne. lien
1ere victoire de la musique de Michel Pétrucciani: 1988 : Victoire du jazz
dans la catégorie Musicien de jazz de l'année.
André Soulies, Christian Pégand et Michel Pétrucciani
Andre Soulies avec Rachid et Alexandre, les fils de Michel Petrucciani.
La 1ere prof de piano de Michel Petrucciani.
La fontaine des innocents de Emile Derré
Flore au concert de John Mayall à Avignon.
André, Lony, May-Li, Natalia, France, Etienne, Flore.
Rezky Djeddi et Natalia Soulies.
lien
« Toujours dans l’ensemble une société produit plus qu’il n’est nécessaire à sa subsistance, elle dispose d’un excédent. C’est précisément l’usage qu’elle en fait qui la détermine ». Et voilà le danger: « Si nous n’avons pas la force de détruire nous-mêmes l’énergie en surcroît… c’est elle qui nous détruit, c’est nous-mêmes qui faisons les frais de l’explosion générale »
Place Michel Pétrucciani à Montmartre
Place Michel Petrucciani features a sidewalk mosaic dedicated to him by painter, sculptor, and life-long friend Edouard Detmer. The mosaic was inaugurated in 2003, four years after Petrucciani’s death.LIEN
Ray Charles
Jim Mc Carty, André Soulies et Jean-Michel Kajdan
"Regarde les étoiles descendre du ciel, En passant doucement, elles embrassent vos larmes lorsque vous pleurez."LIEN
Jim Mc Carty
Sur le site français des Yardbirds LIEN
Jean-Michel Kajdan et The Yardbirds 2008 lien
Jeff Beck et Jean-Michel Kajdan
Une partie de ma superficie d'ame à Montmartre... “La nostalgie, c'est comme les coups de soleil : ça fait PAS mal pendant, ça fait mal le soir.” Pierre Desproges
Ce tableau illustre ma premiere periode montmartroise, du printemps 1979 à la naissance de ma fille en avril 80. J’habitais l’ancien appartement d’Alan Stivell avenue de St Ouen et je montais tous les soirs place du Tertre ecouter les guitaristes jouant du jazz manouche au Clairon des Chasseurs. J’y ai rencontré notamment Rodolphe Raffali qui fut un de mes profs de guitare avec entre autres Christian Diomandé, Gerard Marais,et Pierre Cullaz.
Il parait que ce lieu est à fuir désormais...
France 14 rue Nicolet Paris XVIII
9 rue Lambert Paris 18 Montmartre
rue Becquerel Paris 18 Montmartre
Nadja
« Tu tiens la flamme entre tes doigts et tu peins comme un incendie » Eluard
de fil en aiguille, je viens de me souvenir qu'enfant du Nord (sens large car parigo-gascon-breton), c'est à l'entrée du foro italico que j'ai gouté ma premiere pasteque ahahah pouah !!! Tu n'as qu'un sac à dos pour tout bagage, tu voyages avec ton pouce et tu ne sais pas ou tu vas dormir le soir...
Ici mon hotel "à la belle étoile", une nuit de l'été 1978. Le monstre ne s'est pas pointé !
John Mayall
John Mayall on stage: photo A.Soulies.
Plouescat "...céder à l'audace nouvelle ce que l'immense patience lui avait, à chaque aurore, consenti." Jaccottet
"La temporalité a des règles que la raison ignore. On ne la fixe pas. Elle est insaisissable. Elle opère par vagues. Toute aspiration révolutionnaire est un lent processus de dépossession des anciennes croyances que l’idéologie dominante a transformées en vérités intangibles et qui lentement s’érodent dans les consciences en éveil. Nous en sommes là. Au point où ce « nouveau monde », qu’on nous a vendu comme un fétiche, n’est désormais soutenu que par 10 % de la population réelle. Au point encore où, de partout, sourdent des colères parcellaires contre ce qu’il incarne. Au point, enfin, où, malgré la terreur policière minutieusement pensée, organisée et pratiquée, le courage est redevenu vertu de résistance."
Les bobos à la niche et les prolos au boulot ahahahah !
Locquirec les humains n’arrêtent pas de se casser la figure, de se ramasser et de recommencer et de ne pas savoir régler cette question de la dualité qui nous empoisonne et qui est reconduite jusqu’à plus soif chez tout un chacun conditionné que nous sommes jusque dans les moindres détails de nos quotidiens. lien
Enfants de coeur avec mon cousin Daniel Fomel de l’abbé Gouriou curé de Tonquédec à l’époque, nous servions la messe tres tot le matin pendant les vacances scolaires et la grand messe tous les dimanches de l’année, sans compter les baptemes, les mariages et les enterrements ou nous recoltions quelque argent de poche... On comptait au presbytere les volumineux tas de pieces des quetes et pourchassions avec force plongeons les lapins domestiques en liberté dans le jardin clérical, pour le civet…Nous n’etions pas en reste sur le vin de messe du curé remisé dans la sacristie et c‘est à cette occasion que nous primes notre premiere cuite mémorable ! Mais le curé lui-meme ne disait-il pas, meme tres tot le matin : « Un peu plus de vin, un peu plus de vin » lorsque je versais le contenu des burettes dans le calice ahahah !
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L fabrique de l'imbecile obeissant...J'aime le souvenir de ces époques nues
Cette race est en toi, millénaire Celtie D’azur et de sinople, Arcoat sur Arvor, Qui laissa dans la glèbe ou la coque engloutie Le meilleur de ton être passementé d’or. Cette race divine est la race bretonne Aux fils toujours pareils parmi l’homme divers : Ta race impérissable dont le Temps s’étonne, Ô Bretagne éternelle comme l’Univers ! Saint-Pol-Roux
"L'or des genêts et la pourpre des bruyères frappaient mes yeux d'un luxe qui touchait mon cœur"
Tournée au Japon, Kobé 1992. Un grand tremblement de terre a frappé la ville en janvier 1995 (Great Hanshin Earthquake). La ville a été complètement détruite. Plus de 6400 personnes ont été tuées. Que sont mes amis devenus ? (七転八起 —
A l'issue d'un concert mémorable réunissant Léo Ferré, Paco Ibanez et Jacques Higelin à Saint-Girons en juin 1990, venus soutenir l'association, le Mille Pattes achète le château de Durban-Arize, oublié des historiens, enfoui sous la végétation. « La poésie est une arme chargée de futur »
Chris Dreja est un membre fondateur des Yardbirds. A la dissolution du groupe fin des années 60, il s'est payé le luxe, pour devenir photographe, de refuser à Jimmy Page la place de bassiste de ce qui allait devenir Led Zeppelin. Il est l'auteur de la photo verso du 1er album du groupe. Bon anniversaire Super mec ! LIEN 1
Jean-Claude Vinson, Jean Emilien et Carlos Santana
Patrick Kader !
Joseph Carini et Yves Montand.
Claude, goguenard,,au bar du Petit Journal Montparnasse, à mon oreille lors du concert de Baden-Powell en 95:- "Lagoya est là, il va manger sa guitare !!!"
Cédric Gallo et Etienne Soulies theatre Galli Sanary sur mer.
JUILLET 2014: 5 FRIBOURG JAZZ FEST, 8 ARGELES DEFERLANTES, 10 REIMS, 11 DIJON (FEST REGGAE), 12 ROCK ZOTTEGEM FEST, 8 AOUT LES GETS
J'ai rencontre Steve la 1ere fois lorsque je programmais le Tribulum. Il m'a proposé, lors d'un diner, de m'occuper de ses affaires en collaboration avec le label Novus/Bmg à l'époque de son album "Momentum". J'ai toujours regretté de n'avoir pas donné suite, influencé par mon associé de l'époque le pléonexique Frémeaux...Je l'avais vu auparavant en concert solo, en premiere partie de Claude Barthelemy dans une salle à Clichy: incroyable prestation ou le gars te fait entendre les grands orchestres de l'histoire du jazz, tout seul sur scene, rien qu'avec un sax soprano wouahhh !!! lien